Titre : |
La pratique Slowheat appliquée au sein des bureaux de l'ECAM |
Type de document : |
Travail de fin d'études |
Auteurs : |
David KIN, Auteur ; Geoffrey Van Moeseke, ; Pierre Henriet, |
Editeur : |
ECAM |
Année de publication : |
2024 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Développement durable |
Index. décimale : |
TFE - Construction |
Résumé : |
Dans le TFE consacré au Bilan Carbone de l’ECAM réalisé l’an dernier, la pratique du Slowheat était proposée pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dues au chauffage. La présente étude se place dans la continuité de ce Bilan Carbone et, sous la supervision du Prof. van Moeseke du l’UCLouvain, a accompagné et suivi l’expérience de slowheating appliquée aux bureaux de l’ECAM. En quoi consiste le slowheating ? Il s’agit d’une pratique de chauffage qui consiste à chauffer les corps indépendamment des bâtiments. L’objectif est de diminuer le chauffage global pour but d’atteindre une température équilibrant la consommation d’énergie, la pérennité du bâtiment ainsi que la satisfaction des occupants. Et pour aider à maintenir cette satisfaction, les participants et participantes peuvent utiliser des systèmes de confort personnels (p. ex : des plaids, des sous-mains chauffants et des gilets chauffants) qui permettent de chauffer localement par contact ou par rayonnement les différentes parties du corps selon leur besoin du moment. L’objectif de cette recherche est donc de déterminer s’il est concevable d’appliquer cette pratique, conçue pour les logements, dans des bureaux types individuels et open-space. Durant la période consacrée à cette expérience, des données ont été récoltées via des formulaires de satisfaction envoyés aux participants durant l’expérience, des relevées de températures ont été réalisés via des sondes placées dans les bureaux participants et des données de consommation en énergie du bâtiment ont été fournies. Le croisement de toutes ces données permet de montrer les avantages, inconvénients et points d’attention d’une telle pratique et d’émettre des recommandations afin qu’elle s’ancre en tant que pratique envisageable comme solution afin de réduire les émissions de GES et réaliser des économies en énergie à l’ECAM et/ou dans des bâtiments similaires. |
La pratique Slowheat appliquée au sein des bureaux de l'ECAM [Travail de fin d'études] / David KIN, Auteur ; Geoffrey Van Moeseke, ; Pierre Henriet, . - ECAM, 2024. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Développement durable |
Index. décimale : |
TFE - Construction |
Résumé : |
Dans le TFE consacré au Bilan Carbone de l’ECAM réalisé l’an dernier, la pratique du Slowheat était proposée pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dues au chauffage. La présente étude se place dans la continuité de ce Bilan Carbone et, sous la supervision du Prof. van Moeseke du l’UCLouvain, a accompagné et suivi l’expérience de slowheating appliquée aux bureaux de l’ECAM. En quoi consiste le slowheating ? Il s’agit d’une pratique de chauffage qui consiste à chauffer les corps indépendamment des bâtiments. L’objectif est de diminuer le chauffage global pour but d’atteindre une température équilibrant la consommation d’énergie, la pérennité du bâtiment ainsi que la satisfaction des occupants. Et pour aider à maintenir cette satisfaction, les participants et participantes peuvent utiliser des systèmes de confort personnels (p. ex : des plaids, des sous-mains chauffants et des gilets chauffants) qui permettent de chauffer localement par contact ou par rayonnement les différentes parties du corps selon leur besoin du moment. L’objectif de cette recherche est donc de déterminer s’il est concevable d’appliquer cette pratique, conçue pour les logements, dans des bureaux types individuels et open-space. Durant la période consacrée à cette expérience, des données ont été récoltées via des formulaires de satisfaction envoyés aux participants durant l’expérience, des relevées de températures ont été réalisés via des sondes placées dans les bureaux participants et des données de consommation en énergie du bâtiment ont été fournies. Le croisement de toutes ces données permet de montrer les avantages, inconvénients et points d’attention d’une telle pratique et d’émettre des recommandations afin qu’elle s’ancre en tant que pratique envisageable comme solution afin de réduire les émissions de GES et réaliser des économies en énergie à l’ECAM et/ou dans des bâtiments similaires. |
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