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Affiner la rechercheAdaptation de la démarche performantielle du calcul au feu des bâtiments avec structures bois. / David Son
Titre : Adaptation de la démarche performantielle du calcul au feu des bâtiments avec structures bois. Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : David Son, Auteur ; Pierre-Antoine Cordy, ; Yves Gobert, Editeur : ECAM Année de publication : 2021 Note générale : NEY & PARTNERS WOW Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Le bois étant un matériau de plus en plus présent dans le secteur de la construction, un besoin de connaissances approfondies se fait sentir dans ce domaine. Nous allons nous attarder sur la problématique de la prévention incendie dans ce travail. La course aux immeubles en bois de grande hauteur est déjà lancée, et la thématique du feu peut devenir critique dans certains cas. Habituellement, un calcul au feu d'une structure se fait sur base d'une température normative (courbe ISO). Cette méthode ne prend pas en compte la réalité du bâtiment. Nous allons explorer ici la piste des méthodes performantielles qui sont normalement plus pertinentes (courbe paramétrique et modèles de feu avancés). Adaptation de la démarche performantielle du calcul au feu des bâtiments avec structures bois. [Travail de fin d'études] / David Son, Auteur ; Pierre-Antoine Cordy, ; Yves Gobert, . - ECAM, 2021.
NEY & PARTNERS WOW
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Le bois étant un matériau de plus en plus présent dans le secteur de la construction, un besoin de connaissances approfondies se fait sentir dans ce domaine. Nous allons nous attarder sur la problématique de la prévention incendie dans ce travail. La course aux immeubles en bois de grande hauteur est déjà lancée, et la thématique du feu peut devenir critique dans certains cas. Habituellement, un calcul au feu d'une structure se fait sur base d'une température normative (courbe ISO). Cette méthode ne prend pas en compte la réalité du bâtiment. Nous allons explorer ici la piste des méthodes performantielles qui sont normalement plus pertinentes (courbe paramétrique et modèles de feu avancés). Exemplaires(0)
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Titre : Analyse comparative des théories de dimensionnement des planchers en CLT (Cross Laminated Timber) et application à une étude de cas Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : Arnaud Afopa, Auteur ; Thierry Descamps, ; Yves Gobert Editeur : ECAM Année de publication : 2017 Note générale : Université de Mons Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Que peut bien évoquer le CLT dans votre esprit ? Au-delà de son acronyme, la découverte du matériau bois CLT est sans conteste judicieuse. En effet, alliant robustesse et légèreté, ce panneau structurel possède de nombreux points forts.
Plus de 30 années de recherche ont permis de dégager quatre méthodes de dimensionnement. Chacune possède des forces et des faiblesses inhérentes aux bases théoriques sur lesquelles elles reposent. C’est pourquoi leur domaine d’application peut différer. Le module de cisaillement transversal du bois, noté GR, se révèle être un paramètre clé impactant considérablement la résistance du CLT.
Au travers d’une application simple, comparons les résultats de chaque méthode. La confrontation des méthodes permettra d’en sortir une du lot sans pour autant reléguer les autres aux oubliettes ! Ainsi nous pourrons aboutir à la conception d’un panneau innovant plus résistant, plus performant… Les mots-clés relatifs à ce travail sont : Construction - Bois lamellé collé croisé - Dimensionnement - Rigidité - Recherche - Comparatif - Innovation.Analyse comparative des théories de dimensionnement des planchers en CLT (Cross Laminated Timber) et application à une étude de cas [Travail de fin d'études] / Arnaud Afopa, Auteur ; Thierry Descamps, ; Yves Gobert . - ECAM, 2017.
Université de Mons
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Que peut bien évoquer le CLT dans votre esprit ? Au-delà de son acronyme, la découverte du matériau bois CLT est sans conteste judicieuse. En effet, alliant robustesse et légèreté, ce panneau structurel possède de nombreux points forts.
Plus de 30 années de recherche ont permis de dégager quatre méthodes de dimensionnement. Chacune possède des forces et des faiblesses inhérentes aux bases théoriques sur lesquelles elles reposent. C’est pourquoi leur domaine d’application peut différer. Le module de cisaillement transversal du bois, noté GR, se révèle être un paramètre clé impactant considérablement la résistance du CLT.
Au travers d’une application simple, comparons les résultats de chaque méthode. La confrontation des méthodes permettra d’en sortir une du lot sans pour autant reléguer les autres aux oubliettes ! Ainsi nous pourrons aboutir à la conception d’un panneau innovant plus résistant, plus performant… Les mots-clés relatifs à ce travail sont : Construction - Bois lamellé collé croisé - Dimensionnement - Rigidité - Recherche - Comparatif - Innovation.Exemplaires(0)
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Titre : Analyse théorique et expérimentale de l’impact de la rigidité des connexions bois à organes multiples sur le comportement d’un portique courant Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : Agon BAJRAKTARI, Auteur ; Arnaud Pineur, ; Yves Gobert, Editeur : ECAM Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Construction Résumé : En structure bois, la rigidité des connexions est un point qui est encore assez peu précis
et abordé de manière très simplifiée dans les normes actuelles. En général, un
assemblage est considéré soit comme encastré, soit comme rotulé. Cependant ce n’est
pas toujours le cas et la théorie pourrait être affinée sur le sujet.
Le présent travail de fin d’études vise donc à approfondir le sujet en étudiant l’influence
de la rigidité des assemblages brochés sur un portique composé d’un encastrement
réalisé par organes de type broches multiples. Ce travail étudiera du bois lamellé collé
GL24 en épicéa.
Dans un premier temps, une étude théorique sur base des formules de l’Eurocode 5 sera
faite afin de déterminer la portance locale et la rigidité d’un assemblage type en
couronne.
Dans un second temps, une étude expérimentale sera réalisée en laboratoire en réalisant
des essais directement sur des échantillons et des poutres GL24. D’une part, des essais
sont réalisés pour déterminer la portance locale du bois en vue de connaître les rigidités
des broches, parallèlement et perpendiculairement au fil du bois. D’autre part, des essais
en flexion 4 points sont réalisés sur un assemblage broché type où l’on en déduira la
rigidité rotationnelle de ce dernier.
L’objectif est de comparer les rigidités expérimentales (calculées via les résultats en
portance locale) et théoriques (calculées via l’EC5) de l’assemblage type afin de tirer des
observations, interprétations et finalement des conclusions sur le sujet. En parallèle de
cela, il sera mis en évidence l’importance de considérer une rigidité différente selon le
sens du fil du bois.
Pour finir, afin de mettre en lumière l’utilité des résultats de l’étude, une analyse sur le
comportement d’un portique sera faite en implémentant d’une part la rigidité de
l’assemblage calculée selon les normes en vigueur, et d’autre part la rigidité de
l’assemblage déterminée de manière expérimentale. Les résultats de ce comparatif
permettront de mettre en évidence l’influence de ce paramètre sur le dimensionnement
des structures bois.Analyse théorique et expérimentale de l’impact de la rigidité des connexions bois à organes multiples sur le comportement d’un portique courant [Travail de fin d'études] / Agon BAJRAKTARI, Auteur ; Arnaud Pineur, ; Yves Gobert, . - ECAM, 2023.
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE - Construction Résumé : En structure bois, la rigidité des connexions est un point qui est encore assez peu précis
et abordé de manière très simplifiée dans les normes actuelles. En général, un
assemblage est considéré soit comme encastré, soit comme rotulé. Cependant ce n’est
pas toujours le cas et la théorie pourrait être affinée sur le sujet.
Le présent travail de fin d’études vise donc à approfondir le sujet en étudiant l’influence
de la rigidité des assemblages brochés sur un portique composé d’un encastrement
réalisé par organes de type broches multiples. Ce travail étudiera du bois lamellé collé
GL24 en épicéa.
Dans un premier temps, une étude théorique sur base des formules de l’Eurocode 5 sera
faite afin de déterminer la portance locale et la rigidité d’un assemblage type en
couronne.
Dans un second temps, une étude expérimentale sera réalisée en laboratoire en réalisant
des essais directement sur des échantillons et des poutres GL24. D’une part, des essais
sont réalisés pour déterminer la portance locale du bois en vue de connaître les rigidités
des broches, parallèlement et perpendiculairement au fil du bois. D’autre part, des essais
en flexion 4 points sont réalisés sur un assemblage broché type où l’on en déduira la
rigidité rotationnelle de ce dernier.
L’objectif est de comparer les rigidités expérimentales (calculées via les résultats en
portance locale) et théoriques (calculées via l’EC5) de l’assemblage type afin de tirer des
observations, interprétations et finalement des conclusions sur le sujet. En parallèle de
cela, il sera mis en évidence l’importance de considérer une rigidité différente selon le
sens du fil du bois.
Pour finir, afin de mettre en lumière l’utilité des résultats de l’étude, une analyse sur le
comportement d’un portique sera faite en implémentant d’une part la rigidité de
l’assemblage calculée selon les normes en vigueur, et d’autre part la rigidité de
l’assemblage déterminée de manière expérimentale. Les résultats de ce comparatif
permettront de mettre en évidence l’influence de ce paramètre sur le dimensionnement
des structures bois.Exemplaires(0)
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Titre : Automatisation de l’acquisition de données et génération de rapports automatiques pour un essai de portance du sol Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : Bastien Demaerschalk, Auteur ; Aurélien Nonet, ; Yves Gobert, Editeur : ECAM Année de publication : 2019 Note générale : NONET
Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Le but d’un essai à la plaque est d’acquérir l’ensemble des données nécessaires au contrôle de la portance des couches d’une route. Dans une entreprise de construction de voirie, cet essai est indispensable pour la vérification de la compressibilité des couches mises en œuvre sur chantier. Actuellement, l’opérateur de l’entreprise pour laquelle le travail a été réalisé effectue plus d'une dizaine d'essais par semaine et récolte les données manuellement. L’objectif de ce travail de fin d’étude est de pouvoir automatiser la prise de données et la génération de rapport pour cet essai afin que l’opérateur économise du temps. Une application mobile/tablette a donc été réalisée et sera mise à la disposition de l’opérateur. Cette procédure fiabilise les mesures et les résultats, elle s’adapte aux différentes situations et types d’essais. L’opérateur pourra donc ainsi envoyer directement les rapports depuis le lieu de l’essai et communiquer les valeurs caractérisant la compressibilité du sol. Un test de l’application ainsi qu’une analyse du gain de temps de l’opérateur et de la plus-value de la procédure seront effectués. Grâce à cet outil, une comparaison de l’impact technique entre la nouvelle et l’ancienne version du Qualiroutes sera réalisée. Automatisation de l’acquisition de données et génération de rapports automatiques pour un essai de portance du sol [Travail de fin d'études] / Bastien Demaerschalk, Auteur ; Aurélien Nonet, ; Yves Gobert, . - ECAM, 2019.
NONET
Langues : Français (fre)
Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Le but d’un essai à la plaque est d’acquérir l’ensemble des données nécessaires au contrôle de la portance des couches d’une route. Dans une entreprise de construction de voirie, cet essai est indispensable pour la vérification de la compressibilité des couches mises en œuvre sur chantier. Actuellement, l’opérateur de l’entreprise pour laquelle le travail a été réalisé effectue plus d'une dizaine d'essais par semaine et récolte les données manuellement. L’objectif de ce travail de fin d’étude est de pouvoir automatiser la prise de données et la génération de rapport pour cet essai afin que l’opérateur économise du temps. Une application mobile/tablette a donc été réalisée et sera mise à la disposition de l’opérateur. Cette procédure fiabilise les mesures et les résultats, elle s’adapte aux différentes situations et types d’essais. L’opérateur pourra donc ainsi envoyer directement les rapports depuis le lieu de l’essai et communiquer les valeurs caractérisant la compressibilité du sol. Un test de l’application ainsi qu’une analyse du gain de temps de l’opérateur et de la plus-value de la procédure seront effectués. Grâce à cet outil, une comparaison de l’impact technique entre la nouvelle et l’ancienne version du Qualiroutes sera réalisée. Exemplaires(0)
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Titre : Le béton géopolymère : état de l’art, analyse théorique et pratique et applications en génie civil Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : Antoine VANCOILLE, Auteur ; Morgan LAITAT, ; Yves Gobert, Editeur : ECAM Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Matériaux de construction Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Les gaz à effet de serre sont la principale cause du dérèglement climatique, qu'il faut à tout prix limiter tant ses conséquences pourraient être dramatiques pour l'être humain et, de manière plus générale, pour notre planète. Le béton est responsable, à lui seul, d'environ 8 % de ces émissions, dont la grande majorité provient de la production de ciment : un liant nécessitant de grandes ressources énergétiques pour atteindre sa forme finale, puisque sa fabrication se fait en portant les matières premières à de très hautes températures, et cela en utilisant des combustibles fossiles. Pour pallier ces importantes émissions de gaz à effet de serre, de nombreux chercheurs se sont lancés dans la recherche de solutions dites « bas carbone ». Parmi elles, le béton géopolymère. Le terme géopolymère, introduit dans les années 70 par le Professeur Joseph Davidovits, fait référence à un matériau inorganique. Pour un béton éponyme, le liant est alors remplacé par un matériau géopolymère. Cette solution peut être caractérisée comme écologique pour deux raisons principales. Premièrement, les matières premières les plus fréquemment utilisées sont ce que l'on appelle des « déchets de l'industrie », tels que les cendres volantes et le laitier de haut fourneau. Deuxièmement, le processus de fabrication nécessite moins d'énergie puisque les matériaux sont activés à des températures basses (60-90 °C). Ce travail de fin d'études a pour but de répondre à une question bien précise : le béton géopolymère peut-il remplacer le béton de ciment dans le domaine du génie civil ? Pour ce faire, le travail a pour objectif de comparer les propriétés mécaniques du matériau telles que les résistances à la compression, à la traction, etc., mais aussi le comportement du béton dans des environnements agressifs, réguliers pour les ouvrages d'art. Par la suite, les aspects écologiques et économiques du matériau sont traités, avant d'étudier ses aspects plus pratiques dans le génie civil : méthodologies de dimensionnement et de mise en œuvre. L’étude de quelques cas pratiques permettra la synthèse critique des expérimentations déjà réalisées. Le béton géopolymère : état de l’art, analyse théorique et pratique et applications en génie civil [Travail de fin d'études] / Antoine VANCOILLE, Auteur ; Morgan LAITAT, ; Yves Gobert, . - ECAM, 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Matériaux de construction Index. décimale : TFE - Construction Résumé : Les gaz à effet de serre sont la principale cause du dérèglement climatique, qu'il faut à tout prix limiter tant ses conséquences pourraient être dramatiques pour l'être humain et, de manière plus générale, pour notre planète. Le béton est responsable, à lui seul, d'environ 8 % de ces émissions, dont la grande majorité provient de la production de ciment : un liant nécessitant de grandes ressources énergétiques pour atteindre sa forme finale, puisque sa fabrication se fait en portant les matières premières à de très hautes températures, et cela en utilisant des combustibles fossiles. Pour pallier ces importantes émissions de gaz à effet de serre, de nombreux chercheurs se sont lancés dans la recherche de solutions dites « bas carbone ». Parmi elles, le béton géopolymère. Le terme géopolymère, introduit dans les années 70 par le Professeur Joseph Davidovits, fait référence à un matériau inorganique. Pour un béton éponyme, le liant est alors remplacé par un matériau géopolymère. Cette solution peut être caractérisée comme écologique pour deux raisons principales. Premièrement, les matières premières les plus fréquemment utilisées sont ce que l'on appelle des « déchets de l'industrie », tels que les cendres volantes et le laitier de haut fourneau. Deuxièmement, le processus de fabrication nécessite moins d'énergie puisque les matériaux sont activés à des températures basses (60-90 °C). Ce travail de fin d'études a pour but de répondre à une question bien précise : le béton géopolymère peut-il remplacer le béton de ciment dans le domaine du génie civil ? Pour ce faire, le travail a pour objectif de comparer les propriétés mécaniques du matériau telles que les résistances à la compression, à la traction, etc., mais aussi le comportement du béton dans des environnements agressifs, réguliers pour les ouvrages d'art. Par la suite, les aspects écologiques et économiques du matériau sont traités, avant d'étudier ses aspects plus pratiques dans le génie civil : méthodologies de dimensionnement et de mise en œuvre. L’étude de quelques cas pratiques permettra la synthèse critique des expérimentations déjà réalisées. Exemplaires(0)
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