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Identification des échelles de mutualisation et des modalités permettant à un quartier d'accroître son autonomie dans une optique de développement durable / Maxime Votot 

Public ISBD Titre : Identification des échelles de mutualisation et des modalités permettant à un quartier d'accroître son autonomie dans une optique de développement durable Type de document : Travail de fin d'études Auteurs : Maxime Votot, Auteur ; Yves Hanin, ; Grégoire Vanderveken Editeur : ECAM Année de publication : 2017 Note générale : CREAT Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Géomètre Résumé : À l’ère de la globalisation où la distance n’est plus un facteur limitant de l’économie, l’impact de notre mode de vie sur l’environnement est tel qu’on ne peut le négliger. Il existe des technologies qui tendent à diminuer l’impact de ces déplacements mais une solution plus directe est de s’attaquer à la source du problème en pensant l’aménagement du territoire de manière à concilier autonomie et résilience. Le travail de fin d’étude aborde cette thématique et s’articule en deux phases. Premièrement il définira les échelles pour lesquelles les activités courantes des citoyens ainsi que les éléments constitutifs du métabolisme urbain sont optimaux. Dans un deuxième temps il comparera différentes morphologies urbaines selon des paramètres tels que la résilience et l’accessibilité. L’objectif final est de déterminer une structure urbaine idéale à l'échelle du quartier qui puisse palier aux défis du futur. Identification des échelles de mutualisation et des modalités permettant à un quartier d'accroître son autonomie dans une optique de développement durable [Travail de fin d'études] / Maxime Votot, Auteur ; Yves Hanin, ; Grégoire Vanderveken . - ECAM, 2017. CREAT Langues : Français (fre) Index. décimale : TFE - Géomètre Résumé : À l’ère de la globalisation où la distance n’est plus un facteur limitant de l’économie, l’impact de notre mode de vie sur l’environnement est tel qu’on ne peut le négliger. Il existe des technologies qui tendent à diminuer l’impact de ces déplacements mais une solution plus directe est de s’attaquer à la source du problème en pensant l’aménagement du territoire de manière à concilier autonomie et résilience. Le travail de fin d’étude aborde cette thématique et s’articule en deux phases. Premièrement il définira les échelles pour lesquelles les activités courantes des citoyens ainsi que les éléments constitutifs du métabolisme urbain sont optimaux. Dans un deuxième temps il comparera différentes morphologies urbaines selon des paramètres tels que la résilience et l’accessibilité. L’objectif final est de déterminer une structure urbaine idéale à l'échelle du quartier qui puisse palier aux défis du futur.

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